Résumé
Les combats se poursuivaient, vendredi 6 mai, à Kigali et à Ruhengeri (Nord-Ouest) entre les rebelles du FPR et les forces gouvernementales, alors que les efforts diplomatiques de la communauté internationale se précisent pour mettre fin au conflit et aux massacres qui auraient déjà coûté la vie à plus de 100 000 civils. Pour le ministre français des Affaires étrangères Alain Juppé, un cessez-le-feu est "la condition sine qua non d'une intervention efficace de la communauté internationale".