Soustitre
Après un génocide fratricide, le Rwanda a connu une modernisation spectaculaire et a su améliorer les conditions de vie de sa population. Mais de façon brutale et en muselant avec violence toute opposition.
Commentaire
L'autrice n'explique pas pourquoi le FPR attaque en 1990, faisant implicitement de Paul Kagame le responsable de tout ce qui suit. Le rôle de la France entre 1990 et 1994 est soigneusement gommé. Elle laisse aussi ouverte la question du rôle de la France pendant Turquoise. L'article souffre de nombreuses inexactitudes : les enfants de la Première ministre, Agathe Uwilingiyimana, sont en vie. Elle a été abattue avec son mari non pas par des miliciens mais par des militaires rwandais qui ont été le fer de lance des massacres. Quant à la commémoration du génocide qui servirait "de ciment" au régime du grand dictateur, ce n'est que mépris pour les rescapés.